Les meilleures coiffures sur cheveux courts des années 40
Les années 40 sont surtout marquées par le désir pour les femmes d’affirmer leur liberté et leur indépendance. Elles ont alors adoptées des looks plus glamour, plus sexy et plus provocatrice. Et outre leur façon de s’habiller, leur chevelure sont également devenus un outil de séduction.
Bien que les cheveux longs étaient très en vogue à cette époque, il y avait aussi quelques coupes de cheveux plus courts, mais suffisamment longs pour permettre de réaliser les vagues douces et les boucles populaires de l’époque. Une technique qui est avec l’utilisation de rouleaux ou de boucles à épingles,
Vue d’ensemble des coiffures des années 1940
Dans les années 1940, les cheveux des femmes étaient très doux et féminins. Les femmes utilisaient des rouleaux et des épingles pour créer des boucles et des ondulations dans leurs crinières. Le résultat est très lisse, avec des vagues et des boucles lisses, douces et soyeuses. Sur les coupes courtes, le lissage était d’autant plus évident qu’il y avait moins de boucles. Les femmes portaient généralement les cheveux écartés sur le côté, mais la fameuse « Victory curl » ou « Victory Rolls » utilisait une partie centrale.
Coiffure cheveux courts
Les modèles de cheveux courts dans les années 1940 sont coiffés de la même manière et dans le même style que les modèles plus longs. Ils étaient habituellement séparés sur le côté avec une cascade de vagues descendant sur le visage d’un côté.
Une exception à cette règle était la tendance « Victory Rolls », un style qui consiste à créer une forme en V à l’avant de la tête avec une partie centrale et deux boucles vers le haut et qui est de ce fait difficile à réaliser avec des cheveux courts.
La permanente
A cette époque, la permanente était à son apogée, et les femmes ne pouvaient pas s’en passer. Elle était réalisée pour apporter du mouvement aux cheveux et pour créer de belles boucles qui tiennent pour une longue période. Pour entretenir leur coupe et conserver les boucles, elles se rendaient alors régulièrement chez le coiffeur.
Les boucles sauvages
Les cheveux étaient généralement coupés à une longueur égale ou légèrement supérieure à la longueur du menton, une coupe que l’on connait communément sous l’appellation « coupe carrée ». Les femmes de l’époque adoraient faire des boucles sauvages sur leur courte chevelure, ce qui tirait les cheveux vers le haut et les faisait paraître encore plus courts. Ainsi, même les coiffures qui semblaient très courtes étaient probablement plus longues lorsqu’elles étaient droites.
Les curly
Les cheveux courts ne laissaient pas assez d’espace pour l’utilisation des bigoudis, alors les femmes utilisaient des épingles à boucles à la place. Laissant apparaitre de belles boucles douces et en cascade, cette méthode simple consistait à enrouler des cheveux humides en petites sections autour d’un doigt et à les accrocher en place avec des épingles à cheveux qui seront enlevées une fois les cheveux fixés.
Ces boucles sculptées et vaporeuses pouvaient aussi être créées en utilisant des rouleaux ou un fer à boucler. Si cette coiffure était l’apanage des femmes aux cheveux longs retombant sur une seule épaule, les femmes aux cheveux mi-longs commençaient également à arborer des cheveux curly.
Le brushing soufflé
A cet époque la méthode du crêpage n’était pas encore très apprécié ; les femmes préféraient de loin la technique du brushing soufflé pour ajouter un maximum de volume à la chevelure, dans le style de la légendaire Ava Gardner. Pour adopter cette coiffure, il vous faut une brosse ronde et large qui permettra de décoller vos racines et de leur donner de la densité et du mouvement à l’aide d’un sèche-cheveux. n’emballait pas les foules à cette époque.
La frange roulée
Emblème de l’époque et particulièrement adoptée par les pin-up, la frange roulée est inspirée des chignons bananes roulés sur le dessus de la tête. Ce style de coiffure peut être réalisé de 2 manières différentes : soit en réalisant sur l’avant de la tête, une sorte de chignon banane avec des épingles, soit en travaillant la mèche comme une coque et en accentuant le côté arrondi à l’aide d’un rouleau.
